Comment Impinj et Balbix adaptent leurs offres de sécurité pour se prémunir contre une nouvelle vague d’attaques sur les systèmes IoT.
Selon certaines estimations, il y a environ 10 milliards de dispositifs IoT en fonctionnement dans le monde aujourd’hui. D’ici 2025, ils seront plus de 25 milliards – une augmentation considérable de ce que l’on appelle les « surfaces d’attaque » potentiellement vulnérables à l’infiltration.
Et le principal responsable de cette explosion de cibles vulnérables ? Ils sont nombreux, des réseaux Wi-Fi domestiques dans un monde de travail à domicile à l’absence d’authentification à deux facteurs. Mais l’une des plus grandes sources de faiblesse potentielle provient de la prolifération des appareils connectés – ce qu’on appelle l’Internet des objets.
Un exemple de ce nouveau monde connecté nous vient d’Impinj, qui crée des puces RFID RAIN sans fil et sans batterie permettant aux producteurs, aux distributeurs et aux équipes logistiques de suivre tout type de produit de consommation à travers des chaînes d’approvisionnement mondiales.
La vice-présidente des technologies avancées, Megan Brewster, a expliqué à Built In que les équipes de recherche et développement de son entreprise surveillent en permanence le secteur et le paysage des menaces adjacentes pour s’assurer qu’elles utilisent toujours les meilleures pratiques de sécurité.
Pour approfondir les problèmes de sécurité auxquels sont confrontés les réseaux IoT – et les stratégies utilisées pour y faire face – consultez nos entretiens avec Megan Brewster et Vinay Sridhara, directeur technique de Balbix.